Oui. Les bornes incendie sont alimentées dans le portail client de CAUCA. Les 10 bornes-fontaines et/ou bornes sèches les plus près du lieu de l’intervention sont affichées sur une cartographie avec leur couleur respective représentant le débit de la borne. Afin d’alimenter en lots les bornes sur le portail client, nous vous fournissons un fichier Excel à remplir qui est ensuite importé sur le portail client.
Chaque installation du système SURVI-Véhiculaire communique avec une carte SIM configurée par CAUCA. Cette carte SIM fournit les accès réseau à l’application. Un montant mensuel fixe est facturé pour chaque carte SIM.
Oui. Tous les statuts des véhicules affectés sur l’appel sont visibles dans le logiciel SURVI-Véhiculaire, que ceux-ci l’utilisent ou non. Les véhicules utilisant le logiciel sont aussi visibles en déplacement sur la cartographie, même ceux provenant de l’entraide.
Oui. Une couverture cellulaire est requise pour transmettre les informations de la carte d’appel sur la tablette. Dans les zones présentant une faible couverture cellulaire, une antenne amplifiant le signal cellulaire est recommandée.
Le système SURVI-Véhiculaire est relié aux différents serveurs utilisés pour alimenter le système de Répartition Assisté par Ordinateur (RAO) de CAUCA. Il est ainsi en contact direct avec des données critiques concernant les interventions (ex. : déplacement des véhicules d’entraide, détails de la prise d’appel, commentaires de la carte initiale, fiches d’intervention, matières dangereuses, etc.).
Le système SURVI-Véhiculaire offre une assistance électronique dans les véhicules incendie en complément du service de répartition sur les ondes radio de CAUCA. Il s’agit de logiciels installés sur des tablettes électroniques que nous fixons dans les véhicules d’urgence du service d’incendie. Les trajets et communications sont optimisés lors des interventions incendie.
L’application SURVI-Mobile ne consomme que lorsqu’un appel est lancé sur l’application ou que l’on navigue dans celle-ci. Lorsque l’application est en attente, elle ne consomme pas de données. Sa consommation ne représente que quelques kilo-octets par action (inscription de sa réponse, changement d’onglet, lecture et envoi de message, etc.).
L’application SURVI-Mobile n’affiche pas la position des intervenants. Le GPS est utilisé lors de la réponse et permet de déterminer un temps approximatif d’arrivée séparant le répondant de la caserne ou du lieu de l’incendie.
Oui. Le module « Gestion des disponibilités » permet de consulter, sous forme de calendrier, les disponibilités de chaque pompier (ou autre intervenant d’urgence). Ainsi, chaque ressource inscrit ses plages de non-disponibilités pour que l’état-major connaisse à l’avance les journées présentant un nombre d’effectifs moins élevé.
3 moyens différents sont utilisés par l’application SURVI-Mobile pour joindre les différents intervenants d’urgence : notification, texto et appel téléphonique. Si le système n’obtient pas de réponse après un délai configurable, le système passe automatiquement au moyen de communication suivant. La boucle de rappel se poursuit jusqu’à l’obtention d’une réponse ou après avoir atteint le nombre de tentatives configurées.
Étant reliée à nos divers serveurs, l’application SURVI-Mobile peut interroger les systèmes utilisés pour alimenter la Répartition Assistée par Ordinateur (RAO) de CAUCA et ainsi être en contact direct avec des données critiques concernant les Interventions (ex. : effectifs d’entraides automatiques, connectivité avec l’horaire Web, les disponibilités des casernes avoisinantes, etc.).
L’application SURVI-Mobile est une application bidirectionnelle permettant d’alerter chaque pompier d’un incendie et de recevoir la confirmation de sa présence et de son temps d’arrivée approximatif. L’application permet de connaître en temps réel les effectifs présents sur chaque incendie.
Oui. Il est possible de nous confier le traitement d’une partie ou de la totalité de tous vos appels, ou le traitement des urgences municipales seulement. Vous pouvez aussi choisir votre horaire (24/7, de jour ou de soir).
Des agents du service à la clientèle spécialisés dans le milieu municipal et maîtrisant l’art de l’approche téléphonique répondent aux appels de vos citoyens.
Le service de traitement des appels citoyens permet aux municipalités d’impartir ses appels citoyens entrants pour en diminuer le nombre et pour rendre les administrations municipales plus efficientes.
Composez le 9-1-1 si votre santé, votre sécurité ou vos biens sont menacés et que vous avez besoin d’une intervention immédiate. La personne qui répondra répartira l’appel au service d’urgence approprié, c’est-à-dire les pompiers, la police ou une ambulance.
En 2004, le CRTC a approuvé l’attribution d’un indicatif N11 pour l’accès aux services municipaux autres que les services d’urgence. Le 3-1-1 vient s’ajouter aux 7 indicatifs N11 déjà attribués au Canada. Le CRTC estime que le 3-1-1 peut contribuer à désengorger le 9-1-1 et à rendre plus efficaces et efficientes les communications entre les administrations municipales et leurs citoyens.
Le 3-1-1 est donc un numéro unique dédié aux municipalités afin de rendre plus efficaces et efficientes les communications entre les administrations municipales et leurs citoyens.
CAUCA a mis en place un processus rigoureux de contrôle de la qualité afin d’assurer une excellence à chaque étape des interventions d’urgence ou municipales. Un niveau de conformité strict doit être atteint pour chaque critère afin d’obtenir une accréditation d’excellence.
CAUCA en est d’ailleurs à sa quatrième réaccréditation consécutive pour le MPDS (Medical Priority Dispatch System) et est l’une des seules centrales au Canada ayant l’honneur d’avoir une aussi longue tradition d’excellence.
Oui. Afin d’offrir un service continu en toutes circonstances, CAUCA dispose d’un second centre d’appel à Mont-Tremblant et d’un centre d’appoint à Saint-Georges, tous deux munis de tous les équipements nécessaires à la poursuite des opérations.
Non. La notion publique et privée est prise en compte. Seule une requête publique, donc d’intérêt collectif, peut être visible par l’ensemble de la population via l’application de gestion des requêtes et plaintes.
Des requêtes internes peuvent être créées pour attribuer des demandes entre collègues et départements municipaux. Il est visuellement facile de distinguer une requête interne d’une requête externe.
À même l’application de gestion des requêtes et plaintes, Il est possible de faire le suivi des requêtes des citoyens sans avoir à composer et envoyer des courriels. Également, une date d’échéance peut être ajoutée afin de ne pas l’oublier.
La municipalité décide si elle permet l’anonymat des requérants et/ou des plaignants. Si elle le permet, lors de la création d’une requête et/ou d’une plainte, une case est à cocher à cet effet.
Le logiciel d’alertes et notifications achemine au minimum 15 appels à la seconde et 225 textos à la seconde. La vitesse d’envoi des courriels dépend entre autres des serveurs distants, mais est aussi très rapide. Nous sommes plus rapides que les réseaux cellulaires.
La carte est construite à partir des rôles d’évaluation et des matricules des villes. Si vous êtes déjà client de notre service de traitement des appels d’urgence, nous pouvons importer toutes les données. La carte est prête dès la première utilisation du logiciel.
Si vous n’êtes pas client de notre service de traitement des appels d’urgence, nous importons les données du SIGAT (rôles).
Oui. Nous pouvons importer une base de données dans le format Excel ou CSV. Quelques champs sont obligatoires tels que le prénom, le nom, le numéro de téléphone et l’adresse. Une fois par année ou plus, nous effectuons un achat groupé des listes des numéros filaires du 4-1-1. La base de données appartiendra au client, même au terme de son contrat.
Nous fournissons à nos clients un ensemble de moyens afin de publiciser leur logiciel d’alertes et de notifications et inciter leurs citoyens à s’inscrire.
Non. Notre logiciel d’alertes et de notifications comprend plusieurs filtres (rayons, polygones, voies de circulation, etc.). Différents secteurs peuvent même être prédéfinis (réseaux d’aqueduc, secteurs ruraux et urbains, zones à risques, etc.).
Suite à un déclenchement, des rapports peuvent être consultés. Ces rapports incluent les coordonnées des citoyens, les moyens de communication ainsi que leur statut (s’ils ont été joints ou non). En situation d’urgence, par exemple, il est facile de demander à nos gens sur le terrain d’aller faire du porte-à-porte chez ceux qui n’ont pas été joints initialement. Ces rapports sont en temps réel.